Notre maison brûle et nous regardons ailleurs !!!

Notre maison brûle et nous regardons ailleurs !!!

Le 2 septembre 2022, cette célèbre citation de Jacques Chirac aura 20 ans…qu’avons nous fait depuis ? Nous avons continuer à amplifier un phénomène dont nous sommes collectivement pleinement responsable.

Son discours de Joahnnesburg pour le 4ème sommet de la Terre est resté dans l’histoire comme une énième mise en garde d’un processus entamé plusieurs dizaines d’années plutôt : le réchauffement climatique.
Aujourd’hui, on parle davantage de ce sujet, ce qui est une bonne chose. Malheureusement, les solutions appliqués ne change toujours pas la tendance haussière des émissions. Ces quelques mots, n’ont pas vocation a donné une explication technique de ce drame, d’autres l’ont déjà fait et ce n’est pas la peine de réinventer la poudre, cela fait bien longtemps que l’étincelle y a mis le feu et même si globalement il s’agit d’un problème de riche, et pas seulement parce que nous avons le temps de nous y intéresser mais aussi car plus nous sommes riches plus nous éméttons et contrbuons à émettre. Et que faisons nous pour tenter d’éteindre le feu ? Nous utilisons des extincteurs à CO2…et en plus une quantité négligeable par rapport au feu…Autrement dit, nous seulement c’est inefficace mais en plus cela contribue à l’augmentation de la concentration des gas à effet de serres et donc…au réchauffement global. Déjà que les boucles de rétroaction climatiques, pour ceux qui en ont déjà entendu parler, sont un calvaire d’autoamplification des température moyennes…
A ce compte là, ah quoi bon, ne serait-ce qu’essayer d’éteindre le feu avec des méthodes que l’on sait contre productives ?
Et bien c’est la question que je me pose aujourd’hui…et très franchement ça donne envie de poser des bombes comme pour souffler un puits de pétrole qui aurait prix feu. Autrement dit, regarder le monde bruler et même en rire, danser et se moquer de cux qui agissent !
Pourtant, je ne peux m’y résoudre…et très franchement, je me demande bien pourquoi ?

Si je n’aurai probablement jamais la réponse à cette question, je tiens à la poser quand même et même plus à l’écrire !Comme les mots inutiles de Chirac, ils sont pourtant le précurseur de l’action et donc, ils engagent…à rien de particulier comme tous les grands accords internationaux que les états passent entre eux, comme la plupart des bonnes résolutions de la nouvelle année, ils restent des voeux pieux…

Nous ne sommes rien individuellement, autant ne pas se mentir, pourtant collectivement nous avons réussi à modifier les caractéristiques géologiques de la planète et nous sommes rentrés dans une nouvelle ère…potentiellement celle de notre fin….l’Anthropocène.
Nous y avons pris conscience de notre extrême puissance de notre gigantesque fragilité. Perdus dans un océan cosmique dont nous peinons à imaginer la démeusure, certains imaginent déjà comment assurer notre survie en quittant une planète surexploité pour un environnement hostile comme jamais nous n’en avons affronté en tant qu’espèce. Malgré, nos déchirements guerriers pour des raisons en apparences futiles, il est (presque) évidement pour ceux qui s’interessent à ces questions que nous n’avions pas le choix.

Pour des raisons incompréhensibles à l’époque, car enfouies dans les tréfonds de nos fonctionements physiologiques et amplifié par des raisonnances sociologiques, nous pourrions aujourd’hui utiliser ces connaissances comme es forces de transformations et d’évolutions tant au sens Darwinien que pédagogique…autrement survivre et vivre mieux !

Nous avons toutes les solutions pour explorer l’espace et peut être, rencontrer d’autres formes de vies, peut être même des civilisations extraterrestres tout en la préservant sur Terre…cette solutions c’est rechercher la symbiose avec les êtres vivants et passer de l’Anthropocène à la Symbiocène !

SymbioScènes est l’un des outils permettant de catalyser la réflexion et l’action autour de ces enjeux. Partant du principe que tous est lié et interagit en permanence, certaines liaisons doivent être à la manière d’un cordon ombilical, tout simplement sectionné et d’autres à l’image du fonctionnement d’un neurone myélinisé.

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